jeudi 27 janvier 2011

Savoir décrypter.. les hiéroglyphes du coeur


Je suis particulièrement fière de mon titre sur cet article, c’est pourquoi avant toute chose, il convient que je m’auto lance des fleurs pour m’auto féliciter de cette trouvaille hautement lyrique.

Voilà, c’est fait.

Suite à la mise en ligne, tant attendue, et pourtant tant périlleuse il va s’en dire, du reportage de Enquête Exclusive dans la section Médias du site web, j’ai décidé de vous éclairer les neurones sur le langage Bezness.

Car, oui, si nous autres, femmes européennes alias pétasses-ostentatoires (cf. étude à télécharger), sommes exactement sur la même longueur d’onde que le Bezness, niveau conversation à l’horizontale, il faut néanmoins posséder des facultés quasi-mystiques pour savoir décrypter le langage verbal des Bezness.

Alors vous me direz, la première partie du reportage, elle sert à rien, on y voit des Cannoises et des escrocs dominicains (alias Sanki Panki)..

Oui mais non, car quand  on y regarde bien, tout est lié.
Alors je vais décrypter d’une part, pourquoi j’ai choisi de ne pas conserver uniquement la partie « Tunisie » du reportage.
Puis, nous reviendrons sur la meilleure façon de lire entre les lignes du langage Bezness.
J’ajouterai même, en deux parties, OUI j’approuve, NON je réfute, Conclusion (on dirait un plan de dissertation 1ère littéraire là…).

1)     Le Reportage

Pour des raisons purement techniques, à savoir faciliter la mise en ligne de la vidéo, j’ai du effectuer un montage qui frôle le montage pro (ou pas) comme vous l’avez remarqué. Qui visait, hormis à rajouter mon grain de sel, surtout à alléger la durée et le poids du fichier, information dont vous vous fichez éperdument, mais que j’ai cru bon de rajouter.

Il n’y aura pas de mea-culpa car ce n’est pas une erreur de ma part, s’il n’y a pas la partie Tunisie. A vrai dire la partie Tunisie viendra en 2ème partie.
Au vu de la vitesse à laquelle je progresse, prévoyez un peu d’attente.

A la vue du reportage, j’ai trouvé que le sujet traitant de la Tunisie avait été un peu trop cliché, voir surfait.

Il n’expliquait pas fondamentalement le côté tordu psychopato-mythomaniaque du Bezness tunisien.
A contrario il dénonçait la naïveté inconditionnelle des victimes, et leur faculté à croire tout et n’importe quoi, ce que j’ai trouvé un peu maladroit de la part de la journaliste.

Je salue néanmoins le courage des témoins d’avoir participé.

En revanche, la partie République Dominicaine, montrait, à travers les Sanki Panki, qui ne sont ni plus ni moins que des Bezness au nom plus exotique, démontre bien le parallèle entre la manière de simuler l’amour d’une part et la volonté d’y croire de l’autre.

Certaines phrases sont lourdes de sens quand on s’y attarde :

« On a peur de vieillir » - cf. la Cannoise.
« Non, celui là est un peu différent »
« Elle me veut rien que pour elle » - heu, oui, la notion de pluralité est donc innée pour les Sanki Panki/Bezness.
« Contrairement à leurs homologues masculins, les femmes ont rarement conscience d’être clientes… ».

J’ai donc jugé, que la partie I, était plus évocatrice des deux facettes de la relation, comparativement au sujet traitant de la Tunisie. C’est pourquoi je l’ai conservée comme introduction.

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