samedi 29 janvier 2011

et les femmes tunisiennes, elles en pensent quoi exactement ?

Le foutage de gueule ne date pas d'hier en ce qui concerne les relations sentimentales avec les tunisiens, et, comme je vous le disais dans des anciens articles dans ce même blog, (à vous de les retrouver, moi j'ai pas le courage), les femmes tunisiennes ne sont pas tellement mieux loties que les européènnes.

Je suis tombée par hasard complet sur un blog, l'article date de 2005, mais il est toujours d'actualité.
Cet article vous plonge au plus profond des moeurs contradictoires des jeunes hommes tunisiens, tiraillés entre le désir de s'affranchir de la pression des traditions et cette fameuse question d'honneur et toujours la question épineuse du rôle de la femme dans la societé.

Cet article est un coup de gueule, criant de vérité, sur lequel je vous invite à réfléchir.

bonne lecture




L’anti-orgasme !!

Le lundi 19 décembre 2005, 
JE VOUDRAIS PARLER DES RELATIONS AMOUREUSES CHEZ MOI...DANS CE COIN TRANQUILLE ET FLOTTANT DE LA PLANETE TERRE..EN TUNISIE..
 
Je suis directrice d’une boite, j’ai 25 ans, je suis jolie, j’ai fait des études, je ne suis pas comlexée, et je vis au sud de la Tunisie ; tout au long de ma vie, j’ai toujours eu des histoires de coeur mais si je tiens à en parler aujourd’hui c’est simplement que je veux vous expliquer un truc : les relations amoureuses en Tunisie ! 
 
Tout un festival ! C’est tellement compliqué que je considère les femmes chez nous, bien sûr celle qui ont toujours le courage d’aimer ( et elles sont toujours aussi nombreuses, malgré tout !!), comme des cascadeuses !! 
 
Car tomber amoureuse, c’est (dans la majorité des cas) ... Se casser la gueule.. 
 
Au debut de la relation, l’homme tunisien te dira qu’il s’en fiche de ton passé (et 99 pour cent des femmes ici, en ont un et un bien rempli !!!), que ce qui compte c’est le jour où il t’a connu, mais ce n’est pas vrai ! 
 
Dès qu’il couche avec toi, il tombe malade, et il déconnecte quelques temps le temps d’absorber le choc qu’il a subi en découvrant que tu sais ce que c’est qu’un orgasme, que tu sais ce que c’est qu’une fellation ou un cunningligus, ça lui déplait que tu sois excitée et que tu prennes ton pied ; en somme, il faut que tu sois vierge et frigide pour qu’il puisse t’épouser et te tromper par la suite à sa guise tout en ayant un bon alibi :" je trompe ma femme car elle est frigide et nulle au pieu" et, d’après des sondages perso, 80 pour cent des hommes nouvellement mariés trompent leurs femmes avec des filles plus ouvertes, et regrettent les bases sur lesquelles, ils ont fait le choix de leurs partenaires !! 
 
Mon mec est un de ces caméléon, le jour où on a fait l’amour, sur le chemin du retour, il avait la tête d’un soldat qui vient de rentrer de la guerre apres avoir vu des massacres et des horreurs ; abattu, il a quand même essayer de parler. 
 
Bon, il a plus soupiré que parlé, mais c’est tout à son honneur, s’il respirait encore ( merci pour l’effort mon cheri) et, depuis, trois jours se sont écoulés et, en trois jours, il m’a appelé deux fois, lui qui m’appelle d’habitude six fois le jour et une la nuit !! Tant pis pour moi, je n’avais qu’a ne pas montrer que ça me plaisait ! 
 
Ailleurs, les femmes simulent l’orgasme chez moi, il faut simuler l’anti-orgasme !!!

jeudi 27 janvier 2011

Décryptage du language Bezness...


Parfois, pour savoir que l’on a affaire à un Bezness, il faut savoir lire entre les lignes, ou plutôt, savoir entendre, à travers les mots qu’il utilise.
Alors je vous propose un petit jeu, la phrase magique VS la phrase tragique.

Par exemple :

La phrase magique : C’est une grande gazelle.
La phrase tragique : C’est une vieille peau.

La phrase magique : Elle m’aime beaucoup.
La phrase tragique : C’est mon portefeuille à la demande.

La phrase magique : Tu peux m’aider ?
La phrase tragique : Par ici la monnaie.

La phrase magique : Désolé, je n’ai pas de solde pour t’appeler.
La phrase tragique : Désolé, je n’ai aucune raison de dépenser mon solde pour t’appeler.

La phrase magique : J’ai été au lit tôt hier car j’étais fatigué.
La phrase tragique : Je me suis précipité au lit tôt hier car j’avais envie de baiser.

Et vous, vous en connaissez ?

Savoir décrypter.. les hiéroglyphes du coeur


Je suis particulièrement fière de mon titre sur cet article, c’est pourquoi avant toute chose, il convient que je m’auto lance des fleurs pour m’auto féliciter de cette trouvaille hautement lyrique.

Voilà, c’est fait.

Suite à la mise en ligne, tant attendue, et pourtant tant périlleuse il va s’en dire, du reportage de Enquête Exclusive dans la section Médias du site web, j’ai décidé de vous éclairer les neurones sur le langage Bezness.

Car, oui, si nous autres, femmes européennes alias pétasses-ostentatoires (cf. étude à télécharger), sommes exactement sur la même longueur d’onde que le Bezness, niveau conversation à l’horizontale, il faut néanmoins posséder des facultés quasi-mystiques pour savoir décrypter le langage verbal des Bezness.

Alors vous me direz, la première partie du reportage, elle sert à rien, on y voit des Cannoises et des escrocs dominicains (alias Sanki Panki)..

Oui mais non, car quand  on y regarde bien, tout est lié.
Alors je vais décrypter d’une part, pourquoi j’ai choisi de ne pas conserver uniquement la partie « Tunisie » du reportage.
Puis, nous reviendrons sur la meilleure façon de lire entre les lignes du langage Bezness.
J’ajouterai même, en deux parties, OUI j’approuve, NON je réfute, Conclusion (on dirait un plan de dissertation 1ère littéraire là…).

1)     Le Reportage

Pour des raisons purement techniques, à savoir faciliter la mise en ligne de la vidéo, j’ai du effectuer un montage qui frôle le montage pro (ou pas) comme vous l’avez remarqué. Qui visait, hormis à rajouter mon grain de sel, surtout à alléger la durée et le poids du fichier, information dont vous vous fichez éperdument, mais que j’ai cru bon de rajouter.

Il n’y aura pas de mea-culpa car ce n’est pas une erreur de ma part, s’il n’y a pas la partie Tunisie. A vrai dire la partie Tunisie viendra en 2ème partie.
Au vu de la vitesse à laquelle je progresse, prévoyez un peu d’attente.

A la vue du reportage, j’ai trouvé que le sujet traitant de la Tunisie avait été un peu trop cliché, voir surfait.

Il n’expliquait pas fondamentalement le côté tordu psychopato-mythomaniaque du Bezness tunisien.
A contrario il dénonçait la naïveté inconditionnelle des victimes, et leur faculté à croire tout et n’importe quoi, ce que j’ai trouvé un peu maladroit de la part de la journaliste.

Je salue néanmoins le courage des témoins d’avoir participé.

En revanche, la partie République Dominicaine, montrait, à travers les Sanki Panki, qui ne sont ni plus ni moins que des Bezness au nom plus exotique, démontre bien le parallèle entre la manière de simuler l’amour d’une part et la volonté d’y croire de l’autre.

Certaines phrases sont lourdes de sens quand on s’y attarde :

« On a peur de vieillir » - cf. la Cannoise.
« Non, celui là est un peu différent »
« Elle me veut rien que pour elle » - heu, oui, la notion de pluralité est donc innée pour les Sanki Panki/Bezness.
« Contrairement à leurs homologues masculins, les femmes ont rarement conscience d’être clientes… ».

J’ai donc jugé, que la partie I, était plus évocatrice des deux facettes de la relation, comparativement au sujet traitant de la Tunisie. C’est pourquoi je l’ai conservée comme introduction.

lundi 24 janvier 2011

I am a poor lonesome cowboy...


C’était un beau Dimanche ensoleillé que j’ai rejoins XXX à une terrasse de café.
Alors XXX c’est un vrai, bon, pur Bezness, un morceau de choix, du haut de gamme, le fleuron de la race.

Du coup, j’évite de trop me faire repérer en sa compagnie, telle Mister Gadget je tente, tant bien que mal, de me ratatiner de sorte à ce que l’on ne me reconnaisse pas. 

Je le trouve avachi à la petite table en rotin, arborant des (fausses ?) Prada à verres miroirs tant et si bien que je peux admirer dans les moindres détails mon reflet irréprochable bien sûr.

A ma vue, il esquisse un de ces sourires en coin qu’on imagine sans peine sur Antonio Banderas, mais qui là, en l’occurrence, signent le portrait cliché du connard mégalomane.

Il tire une bouffée sur sa cigarette, bon marché au vu de l’odeur écœurante qui s’en dégage, et ne manque pas de me postillonner la fumée crasseuse en plein dans la figure avant de miauler : ça va princesse ?

Bon, je peux pas vous retranscrire la voix, dommage, mais ça donnait comme un croisement raté entre la racaille du fin fond de sa cité, et le latin lover, façon Ricky Martin…

Et là, me demandez pas pourquoi, j’ai la vision de moi, dans une robe bouffante façon La Belle au bois dormant, et je me retiens de rigoler.

Donc pour vous résumer la scène, on à l’air d’un couple de wannabe assis à une terrasse pourrie, avec du mobilier pourri, entrain de discuter de trucs pourris.

Et puis soudain, -comme c’est bien connu et j’ai une tête de psy-, il me confie, en se pinçant les sinus, genre, limite du suicide, qu’à cause des « évènements », sa copine n’a pas pu venir le voir et que, oh mon dieu, elle reporte son séjour, et que vois tu, ça l’arrange pas du tout parce qu’il avait prévu la venue d’une autre gazelle à ce moment là.

OK super, merci pour la confidence, et je suis sensée dire quoi moi dans l’histoire ?

Il me regarde, avec compassion, et m’explique en reformulant, comme si j’étais une demeurée complète, que je suis sensée l’aider à organiser la venue en simultané de ses deux conquêtes.

Et là, demeurée ou pas, je me demande s’il n’était pas plus simple de prétendre une recherche active de travail ou même, au vu du peu de scrupules qu’il montre habituellement, un début de famine dans la région, pour reporter le voyage d’au moins une des filles…

Donc après une vingtaine de minutes à réfléchir activement, enfin surtout lui, moi, je me sentais beaucoup plus préoccupée par mon cocktail à la coco/banane, il en arrive à la conclusion suivante, et tenez vous bien, il fallait y penser !

Les filles viennent pendant 1 semaine, sur les mêmes dates, à un jour près peut-être.
Selon la description, j’ai cru comprendre que l’un d’elle est vraiment mignonne mais malheureusement ni très riche, ni très autonome (= pas mûre pour le mariage), nous l’appellerons Marie. La seconde ressemble, je cite « à du salami périmé », cependant, sur le long terme, elle semble l’intéresser plus que la première. Nous l’appellerons Carole.
Le problème c’est que celle là, elle vient en location, alors si il joue aux abonnés absents…

Alors LA question, c’était aussi, avec qui passera-t-il la fameuse « dernière nuit ».

ZE’solution c’est que Marie va à l’hôtel, donc pas nécessaire d’être présent dès le premier soir « mais chérie, installes toi, reposes toi, on se verras demain ».

Pendant ce temps, il attend Carole bien sagement dans la maison de location pour le gros câlin après X mois de soi-disant attente.
Le lendemain, il prétexte un problème familial urgent et bien sûr imprévu pour s’échapper, et envoie quelques amis pour divertir Carole le temps de la soirée et la journée où il compte la laisser seule.

Le reste de la semaine se fera en sa compagnie, au détriment de la jeune et jolie copine, qui se demandera pourquoi diantre, elle est venue jusqu’en Tunisie pour se retrouver seule…

samedi 22 janvier 2011

Mémoire d'Elephant

Quel rapport me direz-vous entre le Bezness et le pachyderme aux grandes oreilles, si ce n'est que l'un vit de sa trompe et l'autre de sa queue, oups je m'égare...

En vérité, l'on dit que l'éléphant est doté d'une mémoire respectable, ce qui est aussi le cas de nos amis les Bezness.

Premièrement, ils ont l'œil exercé, il sera capable de vous ressortir très exactement de quelle manière vous étiez vêtue le vendredi 3 mars 2006 lorsqu'il vous aura repérée au milieu de l'aréopage de dindes caquetantes sortant du bus vert fluo estampillé Transavia.com.

(oui, y'a pas de bus vert fluo estampillé Transavia.com en circulation là, mais j'ai trouvé que ça le faisait bien, comme image, et puis c'est mon article, je dis ce que je veux).

Secondo, vous n'avez beau l'avoir croisé que 3 secondes top chrono alors qu'il vous préparait un oeuf au plat et que vous élaboriez mentalement vos plans pour la journée entre beach volley et scéance de hammam, pour lui, il vous l'assurera, ce furent les 3 secondes qui l'ébranlèrent pour la vie entière.
Il vous aime, et ne vous oubliera jamais et patati patata.

Et en effet, il ne vous oubliera jamais, c'est peut-être la seule affirmation honnête que vous entendez de la part d'un Bezness.

Quand le Bezness tient sa proie, tel le pitbull à son rumsteak, il ne la lâchera pas.... surtout s'il a un service à vous demander.

Mais même, lorsque vous pensez, avoir enfin vaincu l'acharnement bestial du Bezness à vous tourmenter le cœur, il est capable de ressurgir de nulle part, (comme l'aigle noir, ou plutôt comme ce vicieux bouton d'herpès que vous pensiez avoir éradiqué de vos pores).

Donc voilà que le téléphone sonne, tiens donc, celui là, ça doit faire une bonne dizaine de mois qu'il a disparu de la circulation. Je me demande ce qu'il me veut. Pour vous dresser un portrait rapide, ayant vite remarqué que je n'étais pas de celles à qui l'on joue la sérénade avec des yeux de merlan frit, celui là avait tenté la carte de l'amitié.
Ok, pourquoi pas... et puis un jour, silence radio.
Ok, pourquoi pas.. la terre ne s'arrêtera pas de tourner n'est-il-pas ?

Piquée de curiosité, je décide de décrocher, je baisse la musique de la stéréo et prends la voix de quelqu'un de très occupée.

Moi - ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, c'est qui ? (toujours faire semblant d'avoir dégagé le numéro de la personne, ça la destabilise)
Lui - c'est XXX
Moi - qui ????
Lui - XXX quoi tu m'a oublié ?

(petite pause pour faire monter la sauce)

Moi - ahhh oui, heu désolée je suis un peu o-ver-bou-kayyy là, fais vite, qu'est ce qu'il y a ?
Lui - non rien je voulais savoir comment ça va, et la famille et tout ça.
Moi - qu'est ce qui te fais croire que j'ai pondu 12 gosses et épousé un Emir depuis notre dernière conversation? 
Lui - non comme ça.
Moi - bon accouche, qu'est ce qu'il y a ?
Lui - bon tu sais, c'est un peu la crise là, tu comprends, je travaille pas..

(nous y voilà, enfin presque)

Moi - Désolée pour toi.
Lui - Donc voilà, comme il faut jamais laisser tomber les amis, j'ai pensé peut-être tu peux me donner un coup de main?

Je me demande si je dois rire de la naïveté saisissante dont il fait preuve ou pleurer de la perception limite débile profonde qu'il a de moi...

jeudi 20 janvier 2011

Refonte du site web

Comme vous le constaterez lors de vos prochaines visites, le site à quelque peu changé.
Les grandes parties demeurent mais j'ai réorganisé le tout, j'espère que la nouvelle présentation vous plaira.

J'ai rajouté, si vous désirez soutenir mes initiatives et le temps consacré, la possibilité d'effectuer des dons via Paypal.
Sachant que dans l'immédiat, si des dons sont envoyés, je préfère les consacrer, comme je le fais déjà, à soutenir la population locale, que ce soit les jeunes qui ont gardé les barrages toutes les nuits durant le couvre feu, ou encore amis et collègues qui se retrouvent a chômage technique à cause du ralentissement de l'activité touristique.

Voilà, la Beznessa ne donne pas encore dans le social, mais j'ai décidé, de profiter de la petite notoriété du site, pour essayer de faire quelque chose d'efficace.
Si vous désirez me contacter à ce sujet ou si vous avez des questions, n'hésitez pas, je me tiens à votre disposition, comme toujours.

De même, si vous désirez soutenir la destination activement, continuez de venir, et faites passer le mot autour de vous.

Merci de m'avoir lue.

mercredi 19 janvier 2011

Citations

Ce soir, sur m6, je regarde Enquête Exclusive, et voilà, j'ai relevé pour vous cette citation, qui résume à mon sens, le Bezness dans sa totalité :

"no romance without finance"



pas de romance, sans finances..

mardi 18 janvier 2011

nouvelle adresse du site web !!!

Bonjour à toutes, (et à tous, si il y a des tous ..)

J'ai l'honneur et la joie de vous annoncer que La Gazette dispose enfin de sa propre adresse web.

ou

Et de sa nouvelle adresse e-mail : contact@beznessa.net

faites tourner !

vendredi 14 janvier 2011

Nouveautés site web

Bonjour à toutes,

Dernières nouveautés en date sur le site web :
  • Section NEWS : 
Vous n'avez pas eu l'occasion de visiter le site de la Gazette depuis quelque temps, vous vous demandez si vous avez loupé quelque chose ? Ou tout simplement envie de connaître les dernières nouveautés du site et du blog ?
N'hésitez plus à consulter la section NEWS (que je tenterai de garder actualisée !!)
  • Nouvelles vidéos, section MEDIAS :
Profitons de la fin de la censure, voici des tas de nouvelles vidéos à voir en ligne, directement sur le site ! 
  • Étude à télécharger :
Elle n'existait pas, et bien, c'est fait !
Le guide pratique du Bezness ! 
28 pages d'informations sur les pratiques du Bezness, sans jugement et à but informatif.
Moins détaillé que les anecdotes de mon blog, vous trouverez néanmoins dans ce document PDF imprimable, des observations ainsi que des faits.

Toute ressemblance avec une personne existant ou ayant existé ne saurait être que fortuite.


L'Etude est téléchargeable gratuitement sur RapidShare, lien disponible (colonne de droite du blog) ou dans la section NEWS du site web à la date du 14 janvier 2011.


N'hésitez pas à me faire connaître vos avis, critiques, remarques auxquelles je resterai ouverte.

mercredi 5 janvier 2011

Interlude littéraire du mercredi matin

J'ai déjà cité, il me semble, Vikram Chandra, car, même hors contexte, ses lignes rapellent le Bezness.
Alors voilà pour vous, un petit cadeau tout frais, pour bien commencer sa journée.



Alors si c'est trop petit pour lire, voilà :

- "Arre, j'ai plein de filles, avait-il répliqué à ses deux collègues, mais je ne gagne pas d'argent sur leur dos, moi. Avec elles j'en dépense, du fric de maderchod, autant que je peux, plus que je n'en ai. Ce pilote, c'est un bhadwa. Un maquereau."

[...]

Quand ils s'étaient quittés, il marmonnait encore.

-"Pour lui, elle avait de l'amour, répétait-il, en employant le mot anglais, "love", et pointant sur eux son index, il avait ajouté : Et lui, il s'est contenté de l'exploiter. Le salaud."

C'est clair :) 
Ce sont des salauds


lundi 3 janvier 2011

Humeur matinale

Aujourd'hui, je vais laisser l'humour au placard, pour vous faire part de cette humeur maussade qui m'habite. 
En effet, je reste toujours profondément attristée à la lecture de certaines histoires, et à la vue de tant de femmes honnêtes, sincères et entièrement dévouées à leur histoire, que leur bezness n'ont même pas la décence de considérer comme il se doit.

Et je me demande, quelles paroles, quels mots utiliser pour leur rendre la vue, et voir au delà des sourires enchanteurs pour voir jusqu'au tréfonds du cœur de ces hommes,  voir au delà de leurs louanges pour voir leurs intentions et leurs ruses.

Voilà, c'est tout pour aujourd'hui et merci de m'avoir lue.