Après Alice in Wonderland, les studios Sea Sex & Sun vous présentent Parispouffe in Beznessland.
Quel titre ! Digne d'un tabloïd.
Bon, poursuivons.
Ce week-end, j'ai fréquenté un couple assez intéressant.
Pas encore la preuve de Beznessage mais ça ne saurait tarder.
La femme à l'âge de ma mère, le garçon, pas loin de mon âge je pense.
La femme a une fille de mon âge.
Si nous suivons la logique infaillible de l'histoire, la femme sort donc avec un jeune homme de l'âge de sa propre fille !
Vous suivez toujours ?
Le jeune homme semble à vue d'oeil jouer le jeu, il la caline, l'enlace amoureusement mais, on ne me la fait pas a moi.
On ne trompe pas une experte de la traque au Bezness.
Le rictus gêné lorsque le sujet du Bezness est ressorti lors d'une conversation..
Des signes qui me laissent croire qu'une pas si jeune Rapunzel risque de bien s'amocher lorsqu'elle tombera du haut de sa tour féérique.
Je pense qu'il s'est rendu compte que je n'étais pas dupe, aussi a t-il évité de trop engager la conversation avec moi.
La mémé profite de lui, tout comme il profite d'elle. Elle doit bien savoir qu'à son âge, elle ne peut pas attirer les jeunots.
RépondreSupprimerD'autant plus dans la société musulmane ou la famille c'est super important, et tous les gars veulent des enfants, donc n'ont pas de temps à perdre avec une femme de plus de 40 ans. Déjà passée 30 ans les tunisiennes ont du mal à trouver un mari et à 35 elles sont déjà bonnes pour la poubelle, car ces machos veulent vivre leur jeunesse le plus longtemps possible, mais les filles elles, ne peuvent pas s'en permettre autant. Je connais des tunisiennes super belles à la recherche d'un mari, presque désespérées, parce que les jeunes hommes ne veulent plus se marier, parce qu'il y a trop de chômage.
Alors la mémé si elle ne sait pas tout ça, et qu'elle s'imagine vraiment qu'un jeunot sera prêt à tout pour l'épouser, elle est soit profiteuse pour avoir de la chair fraîche, soit elle est vraiment pas très intelligente. Désolé si ça paraît méchant, mais il faut arrêter de jouer la victime quand ça tourne mal. Il y a une responsabilité des deux côtés.