Sans transition, je n'étais pas inspirée pour le titre.
J'aurais voulu vous raconter ma soirée du nouvel an mais, bondée au possible, la discothèque était un terrain de jeu inexploitable, trop de monde, trop de chaleur, parispouffe s'est tenue bien sage.
Aujourd'hui donc, 2 petites nouvelles :
(1) Cette semaine, j'ai ajouté une victime à mon tableau de chasse, ce qui mérite ce petit post.
Inutile de préciser que le bezness à claqué un max de fric.
Bien sûr, en ce qui le concerne, le droit de cuissage coulait de source, dommage pour lui, il ne savait pas à qui il avait à faire et il courre toujours.
(2) Vous qui ne savez plus comment faire pour que votre Bezness arrête de vous biper et exploser votre forfait, changement de tactique prouvée et éprouvée par moi.
A votre tour, devenez injoignable.
Test sur le terrain hier.
Merci Caller ID, je vois qui c'est, en plus de ça, vraiment pas envie de lui parler.
Donc, suivant toute logique, je le laisse poireauter et je ne décroche pas. De toute façon, il m'a bipé donc...
C'est qu'il devient insistant l'affreux jojo...
Bon, il a compris que je n'allais pas le rappeler donc il prend sur lui (et sur son crédit visiblement). Cette fois ci, je lui raccroche carrément à la gueule.
Vu que si je ne fais rien je risque d'entendre le téléphone sonner toute l'après-midi, je décroche le téléphone et prends ma voix du réveil "mmmmmmm fous moi la paix je dors, rappelle moi plus tard".
Et le Bezness, docile comme un agneaux s'exécute et en effet, rapellera plus tard.
Évidemment, pour comprendre la morale de l'histoire, il faut avoir lu les habitudes téléphoniques des Bezness dans les posts précédents 2009.
Ah oui, j'allais oublier,
Bonne année.
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